jeudi 2 décembre 2010

La boulette de trop

La perte du chat

Un mari qui hait le chat de sa femme décide de l'emmener en voiture à 20km de là.
Il l'abandonne et retourne à la maison, à son arrivée le chat l'attend sur le pas de la porte.
Nerveux il reprend le chat et l'emmène à 40 km de là puis l'abandonne de nouveau,
à son arrivée à la maison le chat l'attend sur le pas de la porte.
Furieux il reprend le chat et fait 10 km par la droite, puis 25 par la gauche, 30 km vers le Nord, et 25 km vers le Sud.
Il abandonne le chat et repart.
Au bout d'un moment il appelle sa femme avec le portable :
- Chérie, juste une question, le chat est-il là?
- Oui il vient d'arriver pourquoi ?
- Passe moi ce connard au téléphone, je suis perdu.

Clavier de fumeur

Soirées au bar

Deux copains discutent :
- Je n'en peux plus ! Ma femme passe toutes ses soirées à courir les bars de cette ville.
- Elle est devenue alcoolique ?
- Non. Elle me cherche.

Une blonde chez le médecin

Une blonde sort du bureau du docteur mais a oublié ce que le médecin venait de lui dire.
Elle y retourne :
- Docteur, c'est quoi ce que vous m'avez-vous dit ? Scorpion ou sagittaire ?
- Cancer, madame... je vous ai dit cancer...

Le raciste au bar

Monsieur Levy sort de son magasin de confection du sentier et se rend dans le bar situé en face.
Il s'approche du comptoir et s'adresse à un nouveau barman, qui est africain :
- Sers-moi un whisky, sale nègre !
Le barman, gardant son calme lui répond:
- Ce n'est pas gentil Monsieur de me parler ainsi. Comment réagiriez-vous si je vous parlais de cette façon ?
Levy lui répond:
- On n'a qu'à essayer, je vais derrière le bar et toi tu fais le client !
L'africain s'approche du comptoir :
- Sers-moi un whisky sale juif !
Levy lui sourit et répond:
- Je suis désolé mais ici, on ne sert pas les nègres !

Congélateur

Accident de voiture

C'est l'histoire d'un curé et d'un rabbin qui ont un accident de voiture. Leurs deux véhicules sont complètement broyés mais miraculeusement les deux hommes sont indemnes.
Les deux sortent avec difficulté de leur voiture et viennent se retrouver au bord de la route.
Alors que les deux hommes se saluent poliment, le rabbin voit une petite croix en bois sur le veston du curé. Il lui dit :
- Vous êtes prêtre ? Enchanté, je suis rabbin. On a eu de la chance car nos voitures sont détruites et nous avons visiblement été épargné. Un miracle !
Je vois en cela un signe du seigneur. Il nous a certainement sauvé pour nous réunir, afin que l'on sympathise, devenions des proches et que nous répandions ensemble un message de rapprochement et d'amour entre nos deux confessions.
- Ce sont de sages paroles cher rabin. Je pense aussi que le tout puissant nous a réuni et que ce miracle est un signe.
- Oui cher prêtre, c'est un vrai miracle, regardez. Il ne reste plus rien de ma voiture mais j'avais ramené une excellente bouteille d'alcool de Jérusalem et elle aussi n'a pas subi de dommage. Dieu nous a réuni et a certainement souhaité que nous partagions cette bouteille pour marquer notre amitié et fêtions notre bonne fortune.
Le Rabbin enlève le bouchon et tend la bouteille au prêtre. Le prêtre saisit la bouteille à deux mains et boit quelques grosses rasades afin de marquer l'évènement, puis rend le litron au rabbin. Le rabbin se saisit de la bouteille, remet le bouchon et la retend au prêtre sans en boire une goutte.
Le prêtre demande alors :
- Et vous ? Vous ne buvez pas ?
Le rabbin répond en souriant:
- Finalement je ne bois pas... Je crois que la police va arriver, je préfère attendre.

Questions de fillette

Une fillette de sept ans demande à sa maman :
- Maman, comment on fait les bébés ?
- Ah… Ma puce, pour avoir des bébés, le pénis de papa doit entrer dans le vagin de maman.
- Ah bon maman ? Alors pourquoi le pénis de papa est entré dans ta bouche la nuit dernière ?
- Ah… Ma puce, ça c'est pour avoir des cadeaux !

Le match

Fin de soirée

En fin de soirée, un jeune homme ramène sa petite amie chez elle, dans un quartier assez huppé.
Il s'arrête devant chez elle, lui ouvre la portière, lui tend la main pour la faire délicatement descendre, puis la raccompagne avec galanterie devant la porte de sa maison.
Devant la porte d'entrée, sans un bruit, il l'embrasse tendrement.
Puis, pris par l'excitation, il se penche vers elle en souriant, une main accolée au mur, et il lui dit :
- Mon amour, j'aimerais que tu me suces.
Scandalisée, elle répond en chuchotant :
- Mais t'es malade, Mes parents pourraient nous apercevoir !
- Mais non ! Il est très tard ! Qui pourrait nous voir à cette heure ?
- Non… J'ai dit non ! T'imagines si on se fait surprendre ? Je te rappelle que je suis la fille du Maire… arrêtes de déconner… c'est non !
- Mais y'a personne, tout le monde dort !
- NON ! N-O-N t'as compris ? C'est trop risqué !...
- Allez mon coeur ! Je t'en supplie, je t'aime tellement…
- Mais moi aussi je t'aime, mais ici ce n'est pas possible !
- Je t'en suppliiieeee ...
- Donnes moi alors une raison vraiment valable pour que je prenne ce risque.
Le jeune homme commence alors une longue plaidoirie passionnée sur les besoins, les pulsions des hommes, en insistant aussi sur la place des relations physiques dans l'harmonie d'un couple….
Soudain, la lumière du vestibule s'allume, la porte s'ouvre, la grande soeur de la jeune fille apparaît en petite tenue, les cheveux ébouriffés, les yeux mi-clos, et leur dit d'une voix endormie :
- Ma puce, Papa m'a chargé de te dire que soit tu lui fais sa pipe immédiatement, soit c'est moi qui le suce. En cas de problème, maman est aussi d'accord pour descendre elle-même et la lui faire. Mais par pitié, dit-lui d'enlever sa main de l'interphone...

La chèvre

Un type entre dans la chambre conjugale, une chèvre dans les bras.
Sa femme est allongée sur le lit et en train de lire un livre.
L'homme dit :
- Tu vois chérie, ça, c'est la grosse vache que je baise quand t'as la migraine.
La femme répond :
- Si t'étais moins con, tu saurais que ce n'est pas une vache mais une chèvre.
L'homme sourit :
- Si t'étais moins conne, tu saurais que ce n'est pas à toi que je parlais conasse !