mardi 7 décembre 2010

Augmentation de salaire

Une femme de ménage désire une augmentation de 500 euros.
La Maîtresse de maison agacée par cette requête lui demande:
- Et pourquoi voulez-vous une augmentation?
La femme de ménage :
- Madame pour 3 bonnes raisons ! La première c'est parce que je repasse mieux que Madame.
- Pardon ? Et qui vous dit ça ?
- C'est votre mari qui me dit ça.
- Oh!
- La seconde, c'est que je fais mieux la cuisine que Madame !
- N'importe quoi ! Et qui a dit que vous faisiez mieux la cuisine que moi ?
- Monsieur votre mari chère madame !
- Oh !
- Enfin, la troisième raison, c'est que je fais mieux l'amour que Madame !
La maîtresse de maison, hors d'elle se met à hurler :
- Quoi ?!! Et c'est Monsieur qui vous dit que vous faites mieux l'amour que moi ?
- Non, Madame. C'est le jardinier, Madame !
- Voici vos 500 euros…

Contrôle de police

Un couple rentre d'une soirée lorsque la voiture se fait arrêter par la police.
- Bonjour monsieur. Papier du véhicule s'il vous plait.
- Tenez monsieur l'agent.
- Vous rouliez à 117 km/h dans une zone limitée à 70 !
- Quoi ? C'est pas possible ! Je fais toujours très attention. Je ne rigole pas avec la sécurité !
A ce moment, sa femme prend la parole.
- Tu rigoles ! T'étais au moins à 130 mais t'as freiné quand t'as vu le radar.
L'homme jette un regard furieux à sa femme. Le flic reprend.
- Votre feu arrière est cassé. Je vais vous dresser une contravention qui sera majorée si vous ne présentez pas votre véhicule au commissariat avant 48 heures.
- Mon feu arrière cassé ?! C'est pas possible ! Je vérifie toujours mes feux car c'est trop dangereux de rouler avec des lumières qui ne fonctionnent pas.
Sa femme répond :
- Mais tu racontes vraiment n'importe quoi ! Ca fait deux semaines que je dis que ton feu est cassé et que tu ne fais rien.
Son mari, excédé, fait signe à sa femme de se taire. Le policier rajoute :
- De plus vous n'aviez pas votre ceinture
- Ah non ! La ceinture je l'ai enlevé dès que je vous ai vu. Je pensai que vous alliez me faire sortir du véhicule.
La femme ajoute :
- Ben voyons ! T'as jamais mis ta ceinture. Tu dis que ça abime ton costume. Tu détestes ça !
- Mais tu vas fermer ta grande gueule connasse ! (Le mari est tout rouge)
- (Le policier s'adresse à la femme) Votre mari vous parle souvent comme ça ?
- Uniquement quand il est bourré.

Rampe artisanale

Passagère clandestine

Ca se passe au port de la Rochelle. Une jeune femme regarde un bateau s'éloigner. Elle sanglote !
Un marin passant par là lui demande :
- Pourquoi pleurez-vous mademoiselle ?
- J'ai tellement envie d'aller à New York qu'à chaque fois qu'un bateau part, ça me fait pleurer.
- Faut pas pleurer comme ça. (le marin réfléchit). Mon bateau part ce soir pour New York. Si vous voulez je vous fais monter à bord et je vous cache dans une chaloupe. Tous les soirs je vous apporterai à manger ... en contrepartie il faudra être très gentille avec moi et me faire de petites gâteries.
La jeune femme réfléchie et accepte.
Le soir elle embarque. Pendant 10 jours le marin lui apporte à manger et fait sa petite affaire.
Le onzième jour, le commandant de bord qui se promenait sur le pont entend du bruit dans la chaloupe et découvre la passagère clandestine.
- Mais ?! Que faites-vous ici.
- S'il vous plait ne me dénoncez pas aux autorités américaines. J'ai tellement envie de voir New York.
- Qu'est ce que vous me racontez ! Vous êtes sur le bac de l'ile de ré.

Remède contre les migraines

Un homme chez le médecin :
- Docteur, j'ai des migraines pas possibles.
- A part de l'aspirine, je ne vois pas ce que je peux faire pour vous si ce n'est ce remède : A chaque fois que j'ai mal à la tête, je rentre chez moi et je fais l'amour à ma femme. Ca passe à tous les coups.
Merci docteur.
Deux mois passent. Le patient retourne voir le docteur.
- Docteur, il est génial votre remède contre la migraine. Ca marche vraiment bien.
- Merci. Bon c'est pas très médical mais il n'y a que le résultat qui compte.
- Au passage je tenais à vous dire que vous avez un chouette appartement.

Les arbres

Une femme parfaite

Ma vie n'était que bonheur et douceur.
Cela faisait des années que je vivais heureux avec ma petite amie. Un bonheur tellement parfait que nous avions pris la décision de nous marier et de faire des enfants.
Nos parents respectifs étaient des amours avec nous, nos amis encourageaient notre union.
La vie était un rêve que je partageais avec un ange. Ma petite amie était parfaite. Elle était belle, intelligente, drôle, tendre, attentionnée, douce… la perfection vivante.
La seule zone d'ombre sur ce bonheur était sa petite sœur.
Elle avait 18 ans. Elle était encore plus jolie que ma douce et portait des robes en dentelles moulantes qui mettaient toujours en valeur ses petites fesses et sa poitrine magnifique.
Depuis le jour où je l'avais rencontré, elle prenait plaisir à se pencher devant moi de sorte que j'aperçoive ses sous-vêtements, ou pire encore, un petit bout d'un sein, ou une partie d'entre jambes. Elle me provoquait délibérément, et ne faisait cela qu'à moi. Je devenais fou. Elle provoquait chez moi un émoi troublant et une terrible gêne.
Un soir, elle m'a téléphoné afin que je vienne l'aider à préparer les invitations pour le mariage. A mon arrivée, elle était seule, habillée dans un peignoir de soie assez transparent.
Je suis rentré, elle s'est approchée de moi, m'a pris doucement la main et l'a posé sur son cœur en me chuchotant à l'oreille :
- Je sais que tu vas te marier avec ma sœur, mais j'aimerais vraiment assouvir mon fantasme… je n'arrive plus à surmonter mes pulsions…j'aimerais aller au bout de mon désir et te faire l'amour tendrement avant la célébration de vos noces… Je monte dans ma chambre, je t'attends, déshabille toi et vient me prendre…
Mon cœur battait à la chamade. J'étais terriblement choqué mais aussi terriblement excité. Ma respiration était rapide et j'étais au bord du malaise.
Elle est alors montée dans les escalier. Elle semblait voler, la soie laissait entrevoir son corps à demi nue, mes mains tremblaient et mes tempes raisonnaient.
Arrivée à l'étage, elle a retiré sa petite culotte brodée et l'a délicatement lancée à mes pieds en me souriant. Je suis resté figé, glacé, sans un mot pendant de longues secondes. J'étais comme pétrifié d'excitation.
Et là, je me suis décidé. J'ai ouvert la porte d'entrée, couru vers ma voiture.
Mes futurs beaux-parents étaient là, dans le jardin. De chaudes larmes coulaient sur leurs joues. Mon beau père m'a pris dans ses bras et m'a dit :
- Il s'agissait d'un test. Ma femme et moi sommes fiers et heureux d'avoir un futur beau-fils comme vous. Vous êtes un homme parfait. Nous ne pouvions espérer un meilleur mari pour notre fille chérie. Nous vous souhaitons officiellement la bienvenue dans notre famille.
Moralité : Il faut toujours ranger ses préservatifs dans la boite à gants de sa voiture.

Le camionneur et les trois loubards

Un camionneur rentre chez un routier pour boire un café.
Trois loubards sont au bar. Ils se lèvent et se dirigent vers le camionneur.
L'un des voyous prend sa clope et l'éteint dans le café du routier.
Celui-ci, ne voulant pas d'histoire il se lève et essaye de sortir mais un des loubards lui fait un croche-pied et il tombe.
Eclat de rire général.
Le troisième loulou s'approche et lui renverse sa bière sur la tête.
Finalement le routier sort.
Un des loubards dit au patron :
- Quel naze ce type. Il sait pas éteindre les clopes. Il ne sait pas marcher et en plus il ne sait pas boire.
Le patron jette un coup d'oeil par la fenêtre et ajoute :
- En plus, il sait pas conduire. Il vient d'écraser vos trois motos avec son camion !

Volant à droite